Bonjour,
Toujours dans ce projet de localisation de la Renouée du Japon, nous disposons pour chaque périmètre repéré infesté par la plante de photos qui présentent le site.
Pas de problème pour rentrer les photos dans JOSM qui crée un calque « Images géolocalisées », ni pour ajuster leur position et l’enregistrer dans l’EXIF avec les deux greffons ad hoc.
Par contre il ne semble pas possible :
D’affecter des attributs aux images
De faire une relation entre le périmètre concerné et la photo. Lorsque la photo a été faite dans le périmètre cela semble inutile, mais lorsque la photo a été faite à l’extérieur cela se justifie plus.
Est-ce que c’est vraiment le cas ou y a-t-il une solution ?
Mapillary n’est pas trop adapté pour de photos « ponctuelles »
Je pense que OSM n’est pas adapté lui aussi a des données vouées a être supprimées dans un court terme.
Comme indiqué sur le sujet précédent, je pense qu’un projet Umap est plus adapté a ce genre de projet pour identifier des zones avec espèces invasives qui seront détruits assez rapidement (en tout cas dans un « court terme ») après l’identification.
Concernant le « calque images géolocalisées » sur JOSM, il sert plus comme calque sur ton ordinateur pour ensuite décrire ce que tu y voit dans les données OSM sans devoir quitter JOSM, et pas voué à être importé pour être une « base utilisable a court ou moyen terme ».
Merci pour la réponse,
Cela dépend de ce que l’on entend par le court terme. Pour éradiquer la Renouée du Japon, c’est une opération qui peut s’étaler sur plus d’une dizaine d’années.
OSM est-ce bien adapté pour ça ? Les avis sont partagés, mais il existe tout de même des recommandations pour réaliser une telle cartographie sur OSM. Pour l’instant notre projet se focalise sur la Renouée du Japon, mais d’autres espèces végétales ou animales (frelons asiatiques par exemple) sont possibles.
Dans le cas du Frelon asiatique, si de bénévoles peuvent reporter sur OSML les nids observés, il est évident que des chercheurs seront preneurs de ces informations pour étudier leur prolifération soue réserve de bien noter la date d’observation et le suivi de son existence (destruction…). Dans le cas de la Renouée du Japon, il sera intéressant de suivre l’évolution en fonction des différents types d’éradication envisagés (arrachage, coupe manuelle régulière, voire pâturage).
si tu souhaite renseigner aussi l’éradication ou d’autres données « de niche », je pense qu’il est préférable de développer ta propre base en parallèle de OSM sur un outil du genre UMAP, ou comme je te l’ai suggéré sur l’autre sujet de te faire accompagner avec 3LIZ comme l’a fait des associations naturalistes de chez moi.
Avant de vouloir lancer à l’échèle de ton association locale le renseignement de données directement sur OSM, essaye de dresser dans quel objectif tu souhaite faire cela et de quelles données seront répertoriées? pour de la gestion de l’éradication? pour rendre la donnée accessible à des chercheurs sur une base en ligne? autre?
Quel avantage voyait tu a utiliser OSM pour réaliser la gestion de votre base? que ce soit en ligne? gratuit? autre?
En tout cas OSM ne permet pas d’y héberger des photos.
Le tag générique doit contenir une URL complète.
Difficile de spécifier plusieurs images si les URLs sont longues.
Comme il existe plusieurs instances, si l’une d’elle disparaît l’URL sera invalide.
Avec un tag spécifique les clients pourront bénéficier à minima du mécanisme tag2link…
En pratique on peut mettre des photos isolées mais c’est un peu lourd.
Il faut créer :
soit une série contenant toutes les photos « isolées ». Le résultat est médiocre : une trace les relie toutes ce qui ne correspond pas à la réalité et complique la lecture de la carte et des traces.
soit une série par photo : c’est long et lourd.
Ça serait pratique de pouvoir indiquer qu’une série n’en est pas vraiment une pour ne pas tracer de « trajectoire » entre les photos.
Par exemple, en utilisant un identifiant spécial de série 0 ou en ajoutant un tag virtual=yes à une série ?