Il existe une relation présentant un chemin en ligne droite traversant la baie du Mont St Michel, afin de pouvoir faire du routage, et uniquement ceci.
Est-ce qu’il est juste de cartographier un chemin qui, en réalité, n’est ni tracé, ni unique, et changeant à chaque marée ?
Hélas le contributeur à l’origine de la discussion a préféré bifurquer sur la création d’un tag « scrambling » lié à une pratique particulière (la progression à quatre pattes, plus ou moins). C’est dommage parce qu’on a raté l’occasion de réfléchir au cas général des « zones à franchir » et des chemins invisibles.
Ok, donc en gros, si je résume (ça se veut neutre, excusez mes mots) :
C’est bien ce que j’ai dit, mais c’est justement parce que c’est nécessaire au routage qu’on le laisse.
C’est ce que je pensais, mais j’étais mitigé donc je voulais vous demander votre avis.
Merci !
Ce n’est pas vraiment ça : les lignes de désir sont des chemins informels qui peuvent laisser des traces. Là il s’agit d’aller d’un point A à un point B (le Mont Saint-Michel). Mais on a déjà le cas avec les routes des ferries qui ne sont pas constants. Ceci étant dit, les lignes de ferries correspondent à des lignes « réelles » qui peuvent varier en fonction des marées. Ici, on n’est pas dans un cas comparable :
contrairement au cas du routage piéton d’une place, la ligne droite n’est pas une option, ça va dépendre des mouvements de sables, possiblement des positions de sables mouvants.
cerise sur le gâteau, la « source » indiquée ne donne aucun chemin sur l’estran.
Donc je suis pour la suppression de ce segment fantaisiste et dangereux. A minima il faudrait ajouter comme condition la présence d’un guide (je ne sais l’indiquer).
peut-être une idée, une relation style site=sport. C’est ce que j’ai fait pour un parcours en kayak dont seuls endroits de réservation, de départ et d’arrivée sont fixes. Mais comme ça j’aurais fait simple : viré ce segment de la relation.