Parue au bulletin officiel de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports, le bulletin officiel spécial n°1 du 22 janvier 2019 fixe le programme d’enseignement de sciences numériques et technologie de la classe de seconde générale et technologique.
Dans le programme en annexe, page 15, dans la thématique Localisation, cartographie et mobilité il est fait mention de contenus dans lesquels on trouve la capacité attendue Contribuer à OpenStreetMap de façon collaborative.
7 manuels scolaires de seconde traitent de cette capacité (si vous en avez d’autres n’hésitez pas à le signaler).
Je vous propose d’une part de découvrir les 7 approches qui sont faites dans ces 7 manuels et d’autre part de les commenter dans les discussions correspondantes.
Merci pour cette compilation réjouissante. Cela va nous donner quelques surprises au fil des jours. Je fais souvent du jardinage après les éditions fantaisistes en mode appropriations d’ados.
C’est même un peu émouvant, non ? On nous aurait montré ça y a 10 ans on finissait tous dans les pommes je pense !
Merci @vinber de montrer concrètement comment chaque éditeur s’est approprié le sujet
Je trouve que c’est intéressant de voir comment sur 7 (je n’ai pas encore regardé le dernier) manuels il y a autant de différences. Et aussi j’avoue n’avoir parfois rien compris au texte, voire relevé des erreurs.
Il me semblait important de rendre compte que les enseignants (qui majoritairement, voire plus, ne connaissent pas OSM) vont avoir 1 des manuels comme guide …
Je commente ici plutôt que dans les fils correspondants puisque le même texte est utilisé chez Delagrave et Didier (sans doute repompé ailleurs sans les attributions qui vont bien…)
L’utilisation d’informations depuis des « cartes classiques » me fait un peu tiquer: je crains que le lycéen moyen ne compte googlemaps voire une carte papier de GR () comme une carte classique.
Je pense toutefois que le plus important est (soigneusement) éludé dans l’approche des manuels : la licence et son implication
Ça parle de cartographie, de collaboratif, mais « bizarrement » pas (ou peu) de libre.
De la même manière, ça ne parle de pas de base de donnée, alors que je pense que c’est un point essentiel à la compréhension de ce qu’est OSM et de comment y contribuer.
Mais bon, je ne vais pas bouder non plus, c’est déjà un (premier) pas immense.
je ne pense pas que cela soit le public visé qui soit la raison mais une mauvaise (fausse) compréhension par les rédacteurs.
Dans le programme snt il y a des choses qui me semble bien plus complexe que le distinguo base de données et rendu carto.
Ce distinguo permettant d’autant plus ‹ simplement › d’expliquer le routage, que l’on trouve en exemple plusieurs fois (enfin je crois,je mélange un peu)