On peut lire des recommandations qui me semblent fortement intéressantes : formation des enseignants, des élus, personnels de collectivités, lister les communs d’intérêt général, étude d’impact…
Bref, C’est intéressant.
Ce qui est très dommage, ce sont les personnes auditionnées. Tous les communs y sont, mais pas OpenStreetMap France… C’est en page 20 ! Par contre, il y a l’IGN.
merci, j’ai regardé les $ concernés avec OSM et celui ci me parle bien …
Aujourd’hui, les communs numériques sont considérés comme des actifs" micro-économiques", faute d’une ambition politique de développement à un niveau macro-économique". Dans cette option, il conviendrait de réfléchir à une " institutionnalisation" systémique de trois composantes des communs d’intérêt général, dont la codépendance et l’identification constituent les conditions du passage à l’échelle:
● Une " communauté productive ", incluant des fournisseurs de données d’intérêt général, pour organiser la génération de produits, de services et de connaissances (société civile) : ces modèles se retrouvent déjà dans Wikipédia, Openstreetmap, Open Food facts en termes de génération de données et de modération de ces données.
● Une « coalition entrepreneuriale » : gérer et valoriser des professionnels qui génèrent des profits et de la valeur rémunérée (production générative) pour créer et gérer de la valeur (travailleurs) sur un modèle coopératif et solidaire d’allocation de ressources financières et physiques. Un écosystème de startups qui redistribuerait une partie de la valeur générée à la communauté et à l’infrastructure sur un mode coopératif constituerait un modèle économique vertueux.
● Enfin, une infrastructure juridique est nécessaire - association ou Fondation d’intérêt général, Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) - pour protéger et gouverner les biens communs de manière démocratique et dans une logique de rentabilité limitée ou de non-rentabilité, soutenue par un « Etat partenaire ».
si lien devait être fait avec la Fédération des Pros OSM, plusieurs des entreprises qui en sont membres sont des structures dites de l’ESS (Économie Sociale et Solidaire), à savoir type coopérative ou structures commerciales
La SCIC OpenStreetMap France, cela aurait été intéressant à discuter mais c’est difficile au sein d’OpenStreetMap France aujourd’hui de penser un autre modèle que le bénévolat strict (c’est un constat) et peut-être que c’est mieux ainsi ou pas, l’avenir, le futur, …
C’est quand même un truc de fou qu’il n’y ait effectivement personnes d’OSM france et/ou de la FPOSM dans les auditionné·e·s
J’ai pas été mis au courant de ce travail et des auditions, par contre, je fait des remarques de « communiste pratiquant » sur le brouillon de rapport et certaines propositions.