J’essaie de le faire le plus rigoureusement possible, sans traducteur automatique pour respecter la formulation originale.
Il faut le faire sur la dizaine de consignes différentes. Si cela vous dit de donner un coup de main, n’hésitez pas.
Le but est de le traduire complètement avant de le faire relire par un juriste, si nécessaire puis d’y ajouter avec toutes les réserves de rigueur d’autres cas illustratifs que nous aurions rencontrés en France, entre l’association et les pros.
cc @overflorian
Ce sera utile pour tenter d’éclaircir une fois encore la connaissance de l’ODbL auprès de l’écosystème français.
Je me remet à la traduction du Wiki de la Fondation (débutée en 2021), on est quelques uns à avoir des comptes. Je peut relancer la discussion avec Dorothea (CWG) pour qu’elle t’ouvre également un compte. Par ailleurs je viens de retrouver un mail du 2 février 2022 de @vinber sur la potentielle traduction rémunérée de Licence/Community Guidelines/Collective Database Guideline Guideline - OpenStreetMap Foundation . Voici la réponse de Dorothea :
En effet j’ai un peu pris une initiative sans rechercher si des travaux précédents avaient été menés dans le passé.
Par ailleurs, c’est entendu pour les retours de Dorothéa @GeoMechain. On en est au stade où on traduit le document, on notifiera le board après.
@vinber merci pour les liens des discussions passées, je vais intégrer la page que tu as déjà traduite dans le pad (où il est possible de faire des commentaires).
On va terminer tout ça rapidement pour passer au sujet suivant
Biensur : vous pouvez compléter le pad pour les contenus qui ne sont pas encore traduits.
Il reste les dernières pages de bonnes pratiques, les pages de règles ayant été intégralement traduites.
Un peu de relecture peut être intéressante aussi.
Comme prévu, j’ai achevé ce soir la traduction des consignes sur l’attribution.
Merci à @_PanierAvide pour son aide sur les deux pavés des oeuvres dérivées et les quantités substantielles !
Il faut maintenant faire un travail de relecture, j’ai pu commettre des erreurs, j’espère le moins possible.
Il m’a semblé comprendre tout ce que je traduisais, donc les erreurs de sens me semblent peu probable, sait-on jamais.
j’ai fait de très nombreuses corrections / suggestions (en vert) qui méritent relecture.
En particulier,
ma première proposition est de remplacer le titre « Consignes générales » par « Recommandations de la communauté ».
« lignes directrices » ne devrait-il pas également être traduit par « Recommandations » ?
la notion de « quantité substantielle » étant bien définie à la fin et me paraissant claire, je l’ai reprise dans le reste du document en lieu et place de « quantité significative »
d’après vous, est-ce que les données OSM et non-OSM sont « mêlées » ou « mixées » ? « combinées » peut-être ?
Hello Florian, oui c’est très long.
Merci pour toutes les corrections il y avait probablement des coquilles et des erreurs.
Il s’agit bien de consignes : elles été votées par le board de la fondation et relues par un juriste. Cela va plus loin que l’avis de la communauté, donc je laisserais consignes générales dans le titre.
C’est à dire que ce n’est pas négociable : les réutilisateurs ne doivent pas comprendre qu’ils peuvent l’adapter à leur guise.
Pour la traduction de la licence, pour moi on ne peut pas : seul le texte anglais fait foi et en plus c’est la traduction de l’ODbL 2.0
Les exemples pour la France arriveront après oui. Il faudra bien les distinguer des exemples données dans la traduction du document de la fondation puisque certains n’auront pas été relus par un juriste.
Il n’y a pas de licence ODbL 2.0, ce texte est un projet qui avait été poussé par opendatafrance et surtout… les GAFAM derrière !
Je me suis battu à l’époque pour stopper ce grand délire, mais je vois sans arrêt ressortir des pseudos licences ou des explications, des « lectures » très peu conformes aux principes de l’ODbL.
Exemple: « Il est ainsi précisé que pour les collectivités la clause de « partage dans les mêmes conditions » figurant à l’article 4.4 concerne les informations de même nature, de même granularité, de mêmes conditions temporelles et de même emprise géographique. » et ça c’est pas dans l’ODbL, mais dans les conditions particulières des données transport qui justement ont été ajoutées à l’ODbL 1.0.
Je n’étais pas au courant de ce genre de choses (enfin si mais que ca s’appelait ODbL 2.0), c’est ce qui me renforce dans le fait que c’est le texte de l’ODbL en anglais ou rien.
Ne prenons pas de risques que nous pourrions regretter ensuite
Il n’existe pas de licence ODbL 2.0, ce texte est un travail jamais finalisé mais non présenté comme tel.
Il crée une confusion dommageable pour les producteurs de données qui ont choisit l’ODbL 1.0 en particulier sur des interprétations provenant d’ajouts comme ceux faits en France pour la diffusion des données sur transport.data.gouv.fr
Merci de dépublier ce contenu ou de clairement signaler qu’il ne s’agit par d’une traduction de l’ODbL et que cette FAQ ne fait pas non plus consensus.
PS: il manque par ailleurs l’attribution OpenStreetMap sur la carte présente sur Contact - inno³
OK, merci, maintenant que tu en parles, le sujet me revient en tête.
Est-ce que cela signifie que la licence OdbL n’a jamais été traduite en français ? Si jamais c’est le cas, ce devrait être notre priorité n°1.
Il y a une traduction non officielle qui avait été faite par Veni Vidi Libri… mais le site n’existe plus et je n’ai pas encore trouvé de copie, mais ça doit bien se trouver.
A mon avis, ca ne se fait tout simplement pas de traduire une licence. Il restera toujours une version officielle dans une langue d’origine et d’autres versions produites par des tiers.
En tout cas face au tribunal, ta traduction ne vaut rien, donc il vaut mieux se référer au texte d’origine.
On peut traduire les consignes et les explications en revanche, c’est ce que nous avons fait.
Tout dépend ce que nous cherchons : je crois que le débat ici n’est pas juridique mais de forme.
Le terme consignes est là exprès.
Après discussion avec @InfosReseaux, on a décidé de remplacer :
« consigne » par « directive »
« mixer » par « combiner »
qui nous paraissent les mots les plus appropriés.
La prio reste donc de terminer cette traduction puis de la faire valider par la fondation.
J’ai bien compris qu’il était vain de vouloir traduire la licence en elle-même. Nous devons donc nous appliquer à bien l’expliquer, la vulgariser.
Il me semble important de ne conserver que cette seule page de référence : OpenStreetMap